Ein Winter Gedicht

  • La mer


    Qu'on voit danser le long des golfes clairs


    A des reflets d'argent


    La mer


    Des reflets changeants


    Sous la pluie




    La mer


    Au ciel d'été confond


    Ses blancs moutons


    Avec les anges si purs


    La mer bergère d'azur


    Infinie




    Voyez


    Près des étangs


    Ces grands roseaux mouillés


    Voyez


    Ces oiseaux blancs


    Et ces maisons rouillées




    La mer


    Les a bercés


    Le long des golfes clairs


    Et d'une chanson d'amour


    La mer


    A bercé mon coeur pour la vie



    Gre, 19.12.2009. 19Uhr22. Bergisch Gladbach

  • Charles Trenet ?


    Auch recht beliebt:


    Debout ! les damnés de la terre !
    Debout ! les forçats de la faim !
    La raison tonne en son cratère :
    C’est l’éruption de la fin.
    Du passé faisons table rase,
    Foule esclave, debout ! debout !
    Le monde va changer de base :
    Nous ne sommes rien, soyons tout !




    C’est la lutte finale :
    Groupons-nous, et demain,
    L’Internationale
    Sera le genre humain



    Il n’est pas de sauveurs suprêmes :
    Ni Dieu, ni César, ni tribun,
    Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes !
    Décrétons le salut commun !
    Pour que le voleur rende gorge,
    Pour tirer l’esprit du cachot,
    Soufflons nous-mêmes notre forge,
    Battons le fer quand il est chaud !


    C’est la lutte finale :
    Groupons-nous, et demain,
    L’Internationale
    Sera le genre humain



    L’État opprime et la loi triche ;
    L’Impôt saigne le malheureux ;
    Nul devoir ne s’impose au riche ;
    Le droit du pauvre est un mot creux.
    C’est assez, languir en tutelle,
    L’égalité veut d’autres lois ;
    « Pas de droits sans devoirs, dit-elle
    « Égaux, pas de devoirs sans droits ! »


    C’est la lutte finale :
    Groupons-nous, et demain,
    L’Internationale
    Sera le genre humain



    Hideux dans leur apothéose,
    Les rois de la mine et du rail
    Ont-ils jamais fait autre chose
    Que dévaliser le travail ?
    Dans les coffres-forts de la bande
    Ce qu'il a créé s’est fondu
    En décrétant qu’on le lui rende
    Le peuple ne veut que son dû.


    C’est la lutte finale :
    Groupons-nous, et demain,
    L’Internationale
    Sera le genre humain



    Les Rois nous soûlaient de fumées,
    Paix entre nous, guerre aux tyrans !
    Appliquons la grève aux armées,
    Crosse en l’air, et rompons les rangs !
    S’ils s’obstinent, ces cannibales,
    À faire de nous des héros,
    Ils sauront bientôt que nos balles
    Sont pour nos propres généraux


    C’est la lutte finale :
    Groupons-nous, et demain,
    L’Internationale
    Sera le genre humain



    Ouvriers, paysans, nous sommes
    Le grand parti des travailleurs ;
    La terre n’appartient qu’aux hommes,
    L’oisif ira loger ailleurs.
    Combien de nos chairs se repaissent !
    Mais si les corbeaux, les vautours,
    Un de ces matins, disparaissent,
    Le soleil brillera toujours !




    C’est la lutte finale :
    Groupons-nous, et demain,
    L’Internationale
    Sera le genre humain

    Einmal editiert, zuletzt von kawanova ()

  • Booohhh eeehhh , ihr habt doch alle einen Dachschaden :shock: Soviel Sch.... auf vier Seiten :nuts:
    Das ist ja schlimmer als im Freitags abend .......


    :freak


    "Spass muss sein" sprach Wallenstein , und schob die Eier mit hinein ! :biggrin:


    So muss ein Gedicht aussehen ! Kurz , Knackick und sich reimen .


    Schönen 4ten Advent :daumenhoch

    Die globale Verblödung ist schlimmer als die globale Erderwärmung :teacher:


  • Oui, Charles Trénet!
    Ich mag gerade dein "Gedicht" nicht, ist mir zu rot!

  • Zitat

    Original von Gre
    Oui, Charles Trénet!
    Ich mag gerade dein "Gedicht" nicht, ist mir zu rot!


    Iss nicht von mir :teacher:


    Aber so ziemlich das Einzige aus Frankreich, das fast in alle Sprachen übersetzt wurde. :freak


  • So ist es :respekt:

  • Quand tes cheveux s'étalent
    Comme un soleil d'été
    Et que ton oreiller
    Ressemble aux champs de blé
    Quand l'ombre et la lumière
    Dessinent sur ton corps
    Des montagnes des forêts
    Et des îles aux trésors


    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !


    Quand ta bouche se fait douce
    Quand ton corps se fait dur
    Quand le ciel dans tes yeux
    D'un seul coup n'est plus pur
    Quand tes mains voudraient bien
    Quand tes doigts n'osent pas
    Quand ta pudeur dit non
    D'une toute petite voix


    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !


    Quand tu n'te sens plus chatte
    Et que tu deviens chienne
    Et qu'à l'appel du loup
    Tu brises enfin tes chaînes
    Quand ton premier soupir
    Se finit dans un cri
    Quand c'est moi qui dis non
    Quand c'est toi qui dis oui


    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !


    Quand mon corps sur ton corps
    Lourd comme un cheval mort
    Ne sait pas ne sait plus
    S'il existe encore
    Quand on a fait l'amour
    Comme d'autres font la guerre
    Quand c'est moi le soldat
    Qui meurs et qui la perds


    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime
    Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !